EnCana eyes gas exploration with a French connection by Dave Ebner, April 28, 2005, The Globe and Mail

The Canadian firm EnCana is interested in the South-West of France Translation of article in French copied below by Marina Angel, March 9, 2006, L’USINE NOUVELLE

The EnCana group, born from the merger between Alberta Energy and Pancanadian Petroleum, has decided to invest in Europe for the exploration of new unconventional gas fields, that is to say fields in which gas is not available. not contained in “pockets”, but is present more diffusely in soils.

After 3 years of pre-studies on the evaluation of 27 European sedimentary basins, the firm has finally set its sights on the South-West of France, where its new subsidiary, EnCana France, has just obtained an exclusive license to search (PER) for liquid or gaseous hydrocarbons over an area of ​​3,478 m² covering overall a corridor some 150 kilometers long and some forty kilometers wide, going from the east of Tarbes to the foothills of the Aude. This exploration zone concerns the 4 departments of Hautes-Pyrénées, Haute-Garonne, Ariège and Aude. “This site seemed to us to be the one that had the greatest potential for large unconventional gas reservoirs,” explains Mario Savard, director of EnCana France.

Developments in extraction techniques, reduction in production costs and long-term prospects are opening up new horizons for the exploitation of natural gas in this geographical area, even though the activity of the conventional Lacq site ( Pyrénées-Atlantique) is in sharp decline. The group, North America’s leading gas company, with a global workforce of 6,500 people, has made the strategic choice to position itself on these extractive technologies dedicated to unconventional fields.

Called the “Foix permit”, the PER granted to EnCana is valid for 4 years with a minimum expenditure commitment for the manufacturer of 15.2 million euros over this period. “We will spend more” insists Mario Savard, before specifying “we think we will mobilize between 15 and 20 million euros from the first two years”. The company plans to initiate administrative procedures very quickly to be able to start work on the first three exploratory wells next fall.

From our correspondent in Midi-Pyrénées, Marina Angel

La firme canadienne EnCana s’intéresse au Sud-Ouest de la France Social Rédaction L’USINE NOUVELLE 09 Mars 2006 Après 3 années de pré-études portant sur l’évaluation de 27 bassins sédimentaires européens, la firme a finalement jeté son dévolu sur le Sud-Ouest de la France, où sa nouvelle filiale, EnCana France, vient d’obtenir un permis exclusif de recherche (PER) d’hydrocarbures liquides ou gazeux sur une surface de 3 478 m² portant globalement sur un couloir de quelque 150 kilomètres de long pour une quarantaine de kilomètres de large, allant de l’Est de Tarbes jusqu’aux contreforts de l’Aude. Cette zone d’exploration concerne les 4 départements des Hautes-Pyrénées, de la Haute-Garonne, de l’Ariège et de l’Aude. “Ce site nous a semblé être celui qui avait le plus grand potentiel pour de grands réservoirs de gaz non conventionnels” explique Mario Savard, directeur d’EnCana France.L’évolution des techniques d’extraction, la réduction des coûts de production et les perspectives à long terme ouvrent de nouveaux horizons en matière d’exploitation du gaz naturel dans cette zone géographique, alors même que l’activité du site conventionnel de Lacq (Pyrénées-Atlantique) est en nette décroissance. Le groupe, premier gazier nord-américain, avec un effectif mondial de 6 500 personnes, a fait le choix stratégique de se positionner sur ces technologies extractives dédiées aux gisements non conventionnels. Baptisé « permis de Foix », le PER accordé à EnCana est valable pour 4 ans avec pour l’industriel un engagement de dépense minimum de 15,2 millions d’euros sur cette période. “Nous dépenserons plus” insiste Mario Savard, avant de préciser “nous pensons mobiliser entre 15 et 20 millions d’euros dès les deux premières années “. La société prévoit d’engager très vite les procédures administratives pour pouvoir démarrer les chantiers de trois premiers puits exploratoires dès l’automne prochain. De notre correspondante en Midi-Pyrénées, Marina Angel